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Au Japon
Série terminée : 22 tomes
Site de l'éditeur : www.glenatmanga.com
Excité par tous ses sentiments négatifs, Enishi est devenu encore plus fort, au point de neutraliser toutes les techniques de Kenshin. Ce dernier, bien qu’affaibli, ne renonce pour autant pas et retrouve même son assurance grâce à la réponse qu’il vient de trouver pour racheter ses péchés. Face à son ennemi qui tient à le sanctionner par la mort, il cherche une occasion de porter son arcane. Mais le combat a lieu sur le sable, qui gêne Kenshin pour enfoncer son pied d'appui. Va-t-il réussir ?
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Voici enfin le tome final de cette réédition perfect de la série culte Kenshin le Vagabond.
L’auteur nous offre un dénouement complet avec un ultime combat porté à son maximum. D’ailleurs il ressemble souvent à un étalage de techniques ultimes qui relevaient auparavant de l’anecdotique et de l’exceptionnel et qui ne sont plus ici que banales.
Le personnage d’Enishi reste bien moins emblématique que les autres grands adversaires de Kenshin mais sa force elle est impressionnante. Dommage que l’on ait droit aux habituels commentaires des « spectateurs » qui nous expliquent tout, et surtout trop. On a parfois l’impression de lire un traité médical pour justifier la force surhumaine de l’adversaire final. Quelques mots rapides auraient suffi et auraient surtout bien moins délayé l’action.
En ce qui concerne la suite des événements, le mangaka nous a offert une véritable conclusion qui comporte même un épilogue dédié à la relève. Le coup des adieux de tous qui se font de manière un peu trop simultanée ne fonctionne pas très bien une fois arrivé au troisième personnage, mais on sent que l’auteur veut avancer au plus vite pour nous donner un maximum d’informations en un minimum de pages, ce qui compense puisque le rythme est finalement plus soutenu que dans le tome précédent bien que comportant moins d’action. En termes d’ambiance aussi, ce tome final renoue avec la légèreté du début pour notre plus rand plaisir.
L’auteur nous offre un dénouement complet avec un ultime combat porté à son maximum. D’ailleurs il ressemble souvent à un étalage de techniques ultimes qui relevaient auparavant de l’anecdotique et de l’exceptionnel et qui ne sont plus ici que banales.
Le personnage d’Enishi reste bien moins emblématique que les autres grands adversaires de Kenshin mais sa force elle est impressionnante. Dommage que l’on ait droit aux habituels commentaires des « spectateurs » qui nous expliquent tout, et surtout trop. On a parfois l’impression de lire un traité médical pour justifier la force surhumaine de l’adversaire final. Quelques mots rapides auraient suffi et auraient surtout bien moins délayé l’action.
En ce qui concerne la suite des événements, le mangaka nous a offert une véritable conclusion qui comporte même un épilogue dédié à la relève. Le coup des adieux de tous qui se font de manière un peu trop simultanée ne fonctionne pas très bien une fois arrivé au troisième personnage, mais on sent que l’auteur veut avancer au plus vite pour nous donner un maximum d’informations en un minimum de pages, ce qui compense puisque le rythme est finalement plus soutenu que dans le tome précédent bien que comportant moins d’action. En termes d’ambiance aussi, ce tome final renoue avec la légèreté du début pour notre plus rand plaisir.
