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Voici la liste des gagnants de notre concours de l'été "Hamtaro - 10 licences Ipad à remporter "
Liste des gagnants :
Patricia. P (75)
Herve. G (38)
Betty. N (94)
Farid. A (59)
Paula. R (64)
Dominique. D (92)
Kevin. P (47)
Garance. D (59)
Miren. B (64)
Stephanie. M (86)
Les gagnants receveront très prochainement par mail 1 licence afin de telecharger le jeu Hamtaro sur Ipad.
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A l'occasion de la sortie du jeu Hamtaro - Petits Hamsters - Grande Aventure sur Ipad, Asia-Tik.com et Egg Ball vous proposent de remporter l'une des 10 licences mis en jeu.
Pour participer, il vous suffit de vous rendre sur la page concours dédiée : www.asia-tik.com/concours-hamtaro.php
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Retrouvez la liste des gagnants du concours Beyblade Metal Fusion à l'occasion de la sortie des volumes 7 à 9 de la série le 5 avril dernier.
- Mlle Henry Mélanie (10)
- M Guerin Fabrice (17)
- Mlle Picharles Agnes (38)
- Mme Fonseca Cecilia (33)
- M Hellec Gwendal (56)
Chaque gagnant remporte chacun un lot de 3 DVD comprenant les volumes 7 à 9 de la série Beyblade Metal Fusion. Les gagnants recevront leur lot dans quelques jours.
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MAJ : 11h22
L'alerte au tsunami a été levée dans le Nord-Est du Japon selon la chaine de télévision NHK.
11/04/11 : 11h14
Un puissant seisme de 7,1 s'est produit aujoud'hui dans le Nors-Est du Japon, faisant trembler les immeubles de Tokyo. et entrainant une alerte au tsunami, un mois jour pour jour après le tremblement de terre et le tsunami dévastateurs dans cette zone.
Les employés de la centrale de Fuskushima int été évacués a annoncé l'opérateur TEPCO.
Source: AFP
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A une centaine de kilomètres au sud, la centrale nucléaire de Fukushima continue de donner des signes d'inquiétude, à un un mois jour pour jour après qu'une vague de 14 mètres de haut eut dévasté ses installations électriques et ses circuits de refroidissement.
Les techniciens de l'opérateur TEPCO se sont activés pour terminer dimanche le déversement dans la mer de 11.500 tonnes d'eau faiblement radioactive afin de faire de la place dans des cuves pour évacuer une eau plus polluée. Cette initiative controversée avait provoqué l'inquiétude des voisins du Japon, dont la Chine et la Corée du Sud.
Pour sa deuxième visite sur le terrain, M. Kan, toujours malmené dans les sondages d'opinion, s'est rendu sur le port d'Ishinomaki, gravement endommagé par le séisme de magnitude 9 et surtout le tsunami géant qui a suivi.
"Nous ne vous abandonnerons pas", a promis M. Kan aux habitants. "Le gouvernement va travailler de toutes ses forces avec vous".
Il a précisé que l'une des priorités était que "la pêche côtière puisse reprendre au plus vite" après la destruction des installations portuaires et des embarcations sur toute la côte Pacifique du Tohoku (nord-est).
Le maire, Hiroshi Kameyama, a réclamé à l'Etat la construction "le plus tôt possible" d'habitations temporaires pour les milliers de sinistrés qui vivent encore dans des abris.
"Il y a 17.000 personnes dans les centres d'accueil et la plupart ne récupèreront jamais leur domicile", a expliqué le maire de cette ville qui comptait 163.000 habitants avant la catastrophe. 2.653 d'entre eux sont morts et 2.770 portés disparus, selon un bilan provisoire.
M. Kan a promis la construction d'un premier lot de 70.000 habitations dans le nord-est, où un total de 150.000 personnes vivent encore dans des centres d'accueil.
Après une période de deuil d'un mois, le gouvernement estime que l'heure de la reconstruction est venue.
Un comité spécial chargé d'organiser les travaux dans le Tohoku doit être mis en place officiellement lundi, jour anniversaire de la catastrophe, et le Premier ministre devrait lors d'une conférence de presse appeler la population à consommer plus pour soutenir la troisième économie mondiale.
Mais la pollution radioactive dégagée par la centrale accidentée de Fukushima risque d'aggraver encore la situation des agriculteurs et des pêcheurs du nord-est.
Plusieurs produits agricoles sont déjà interdits de vente dans les préfectures entourant la centrale de Fukushima Daiichi (N°1) et des tests effectués sur les poissons ont révélé un taux anormal de césium dans une sorte de petite anguille de sable.
Le gouvernement reconnaît que la situation à la centrale reste toujours instable un mois après l'accident, qui aurait pu déboucher sur une catastrophe nucléaire plus grave que celle de Tchernobyl il y a 25 ans.
Le refroidissement des six réacteurs, d'abord avec de l'eau de mer puis de l'eau douce, a permis de stopper le processus de fusion des barres de combustible.
De la fumée blanche continue de s'échapper de quatre réacteurs, les plus gravement endommagés, alors que les travaux de rétablissement de l'électricité et des pompes de refroidissement avancent très lentement, en raison notamment de la présence d'eau fortement radioactive dans les bâtiments.
Plus de 20.000 soldats, 90 avions et 50 navires ont été mobilisés dimanche pour mener une nouvelle opération de recherche de corps le long des côtes alors que près de 15.000 personnes étaient toujours portées disparues. Le nombre de morts confirmés s'élevait dimanche à 12.998, selon la police.
A Tokyo, plusieurs milliers de personnes, dont de nombreux jeunes, ont manifesté dans le calme pour réclamer l'arrêt du nucléaire et le développement des énergies renouvelables. "C'est la première fois que je manifeste. C'est peut-être trop tard pour Fukushima mais il y a d'autres centrales au Japon", a expliqué Yuko Yuge, une femme de 39 ans.
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La violente réplique de magnitude 7,4 qui a duré 40 secondes a endommagé la centrale nucléaire d'Onagawa à plus de 100 km au nord de Fukushima. Tohoku Electric Power, l'exploitant de la centrale annonçait que des fuites d'eau avaient été détectées.
De l'eau s'échappait des piscines de refroidissement du combustible des réacteurs 1, 2 et 3.
Cette centrale avait déjà suscité l'inquiétude des autorités japonaises immédiatement après le séisme et le tsunami qui y avait décrété l'état d'urgence le dimanche 13 mars. Un feu s'était déclaré dans le bâtiment abritant la turbine d'un des réacteurs et une fuite d'eau avait déjà été repérée.
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Un séisme de magnitude 7,1 a secoué en fin de journée (heure française) le nord-est du Japon, déjà dévasté il y a près d'un mois par le tremblement de terre et le tsunami géants du 11 mars dernier, mais la centrale nucléaire accidentée de Fukushima n'a pas subi de nouveaux dégâts.
La secousse, identifiée comme une réplique du terrible séisme du 11 mars, a immédiatement déclenché une mise en garde contre un raz-de-marée pouvant aller jusqu'à deux mètres de haut sur les côtes de la préfecture de Miyagi.
Mais l'alerte a été levée une heure et demie plus tard sans qu'il n'y ait eu de vagues anormalement élevées signalées sur le rivage.
Le séisme s'est produit à 23H32 (14H32 GMT) à une profondeur de 49 km, selon l'Institut de géophysique américain USGS. Son épicentre était situé dans l'océan Pacifique, à 66 km à l'est de la ville de Sendai (préfecture de Miyagi).
Aucun décès n'a été signalé par la police, qui n'a recensé que sept blessés dont deux seraient dans un état grave, a indiqué la télévision publique NHK.
A Kurihara (préfecture de Miyagi), un immeuble d'habitation s'est effondré et une femme de 85 ans a été blessée, ont annoncé les pompiers, cités par l'agence de presse Kyodo.
L'Agence de sûreté nucléaire a affirmé qu'aucune centrale atomique de la région n'avait subi de dégâts.
Le personnel travaillant sur le site de la centrale de Fukushima avait été évacué par précaution vers l'intérieur des terres.
"Après le séisme et la mise en garde contre un tsunami, tous les ouvriers ont été évacués pour se mettre à l'abri", a dit un porte-parole de la société Tokyo Electric Power (Tepco), exploitant et propriétaire du site.
"Nous n'avons dans l'immédiat aucune information indiquant que quelque chose d'anormal se soit produit à la centrale", a-t-il ajouté. "L'alimentation en eau des réacteurs 1, 2 et 3 se poursuit sans problème".
Depuis que le système d'alimentation électrique a été noyé par une vague de 14 mètres de haut le 11 mars, le refroidissement des réacteurs est assuré par des pompes de secours.
Les techniciens de Tepco ont en outre commencé jeudi à injecter de l'azote dans le réacteur 1 pour empêcher une explosion d'hydrogène.
"Nous continuons d'injecter de l'azote, les paramètres ne signalent rien d'anormal et le travail se poursuit sans problème", a affirmé le porte-parole après le séisme.
L'azote est régulièrement utilisé dans les zones de stockage sensibles pour faire chuter le taux d'oxygène dans l'air et remplacer ainsi une partie de l'atmosphère.
Cette opération d'"inertage" devrait durer six jours, selon Tepco, qui envisage de l'appliquer également aux réacteurs 2 et 3 dans les prochains jours.
Près de quatre semaines après le séisme de magnitude 9 et le tsunami géant qui ont dévasté la côte Pacifique au nord-est de Tokyo, faisant plus de 27.000 morts et disparus, la crise à Fukushima Daiichi (N°1) est loin d'être réglée.
Des volutes de fumée blanche, probablement de la vapeur d'eau radioactive, continuent de s'échapper de trois des quatre réacteurs endommagés. Les barres de combustible dans le coeur des réacteurs et dans les piscines de désactivation doivent être arrosées jour et nuit en attendant que l'alimentation électrique et les circuits de refroidissement soient rétablis.
Le gouvernement envisage désormais d'élargir la zone d'évacuation actuellement fixée à un rayon de 20 km autour de la centrale.
Aucune nouvelle fuite d'eau des réacteurs dans l'océan tout proche n'a été constatée, a indiqué jeudi l'Agence de sûreté nucléaire, après le comblement réussi d'une brèche dans une fosse d'où s'échappait de l'eau hautement radioactive.
Mais le risque de contamination de l'environnement marin n'est pas pour autant écarté, soulignent les experts.
Les opérations de rejet volontaire en mer de 11.500 tonnes d'eau faiblement radioactive, selon Tepco, se poursuivaient pour la quatrième journée consécutive, en face de la centrale.
Les recherches de victimes dans la zone d'exclusion des 20 km autour de la centrale, considérée jusqu'ici comme trop dangereuse, ont pu enfin commencer.
Quelque 300 policiers, dont 250 venus de Tokyo, équipés de combinaisons blanches, de masques et de lunettes, ont été montrés par la télévision publique NHK fouillant les décombres à la recherche de quelque 2.453 personnes portées disparues depuis le 11 mars dans la région vidée de ses habitants.
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Un taux d'iode radioactif 1.150 fois supérieur à la norme légale a été mesuré dans l'eau de mer prélevée à trente mètres seulement des réacteurs 5 et 6.
Jusqu'à présent, les tests étaient pratiqués au sud de la centrale Fukushima Daiichi (N°1), à la sortie des réacteurs 1 à 4, les plus endommagés, où le taux d'iode 131 était dimanche à un niveau près de 2.000 fois supérieur à la normale.
Les réacteurs 5 et 6, qui étaient arrêtés pour un service de maintenance au moment du séisme et du tsunami du 11 mars, n'ont pas subi de dégâts majeurs et leur système de refroidissement a pu être reconnecté à l'alimentation électrique.
Le porte-parole de l'Agence, Hidehiko Nishiyama, a précisé que les tests avaient été réalisés par la compagnie d'électricité gérant le site, Tokyo Electric Power (Tepco), à partir d'eau prélevée à proximité de ces deux réacteurs, construits dans la partie nord de la centrale, à environ 1,5 km des quatre premières tranches. "Un taux d'iode 131 a été détecté à un niveau 1.150 fois supérieur à la limite légale dans l'eau de mer prélevée près des réacteurs 5 et 6", a-t-il dit lors d'une conférence de presse.
Selon Tepco et l'Agence de sûreté nucléaire, la radioactivité relâchée dans la mer se dilue avec les marées et le risque sur les algues et les animaux marins n'est pas important. L'iode radioactif se réduit de moitié tous les huit jours.
L'annonce erronée par l'exploitant Tepco d'un niveau de radioactivité "10 millions de fois plus élevé" que la normale dans de l'eau échappée de la centrale nucléaire de Fukushima, est "inacceptable", a jugé ce matin le porte-parole du gouvernement japonais. "Même si la fatigue des personnes qui travaillent sur le site peut concourir à expliquer "cette erreur", sachant que la surveillance de la radioactivité est une condition majeure pour assurer la sécurité, ce type d'erreur est absolument inacceptable", a déclaré Yukio Edano, porte-parole du gouvernement.
La centrale, située à 250 km au nord-est de Tokyo, a été gravement endommagée par le séisme et le tsunami. Les systèmes de refroidissements de quatre réacteurs sont depuis en panne, entraînant de multiples incidents et des rejets radioactifs.
Par ailleurs, un séisme de magnitude 6,5 s'est produit ce matin au large du nord-est du Japon et une mise en garde au tsunami a été lancée pour la côte de la préfecture de Miyagi, la plus éprouvée par la catastrophe du 11 mars, a annoncé l'Agence météorologique japonaise.
Ce séisme est probablement une réplique de la secousse de magnitude 9 qui s'est produit il y a 17 jours car il est intervenu dans la même région de l'Océan Pacifique.
L'Agence météorologique japonaise a émis une mise en garde à la population côtière de Miyagi, estimant qu'un tsunami était susceptible de toucher le littoral.
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Trois employés travaillant sur le réacteur 3 de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima 1, ont été hospitalisés après avoir été irradiés, a annoncé aujourd'hui l'Agence japonaise de sûreté nucléaire.
Le niveau d'iode radioactif dans l'eau du robinet de Tokyo est repassé aujourd'hui sous la limite légale admise pour les bébés, après avoir dépassé ce seuil la veille, ont annoncé les autorités de la capitale.
L'électricité a été partiellement rétablie jeudi dans la salle de contrôle du réacteur 1, dans la centrale accidentée de Fukushima, a annoncé l'Agence de sûreté nucléaire.
La municipalité de Tokyo a annoncé que le taux d'iode radioactif était tombé à 79 becquerels par kilogramme jeudi à 06H00 (mercredi 21H00 en France) à la station d'épuration de Kanamachi (arrondissement de Katsushika), alors que la limite fixée par les autorités nippones est de 100 becquerels pour les bébés. Une concentration d'iode radioactif 131 de 210 becquerels par kilogramme avait été relevée mardi matin sur des échantillons d'eau courante prélevés dans cette même station.
"A 11H30 (02H30 heure française), l'éclairage de la salle de contrôle s'est allumé, mais nous ne sommes pas sûrs que cela signifie que le système de refroidissement pourra repartir", a déclaré à l'AFP un responsable de l'Agence de sûreté nucléaire.
L'éclairage avait déjà été rétabli mardi soir dans la salle de contrôle du réacteur 3, grâce à une ligne à haute tension amenée de l'extérieur.
Tous les réacteurs ont été connectés aux distributeurs d'électricité, mais seules quelques lignes ont été mises partiellement sous tension, en attendant que l'état des appareils soient vérifiés afin d'éviter des court-circuits.
L'Agence de sûreté nucléaire a annoncé jeudi que les techniciens de l'opérateur du site, Tokyo Electric Power (Tepco), allaient tenter de remettre en service une pompe alimentant le réacteur 3, le plus endommagé. "Les ouvriers espèrent abandonner le recours à l'eau de mer et utiliser une pompe pour alimenter la piscine de rétention en eau courante", a déclaré ce responsable. Ce réservoir est situé sous le réacteur qui lui-même est protégé par une enceinte de confinement.
Selon l'Agence, la ligne électrique à l'intérieur de cette enceinte est "relativement en bon état".
Les dispositifs de refroidissement des réacteurs 5 et 6, qui ont moins souffert, sont à l'heure actuelle les seuls à être opérationnels.
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23/03/2011 - Après les légumes, le lait et l'eau de mer, c'est l'eau du robinet qui présentait des risques. Le taux d'iode radioactif de l'eau de la capitale japonaise dépassait la limite légale admise pour les bébés. La concentration était deux fois plus élevée (210 becquerels par kilo au lieu de 100) que la norme acceptable.
22/03/2011 - Les différents organismes publics ont continué mardi à répéter que le niveau de radioactivité décelé dans la pluie, l'eau du robinet, ou dans certains aliments autour des réacteurs endommagés ne menaçait pas la santé.
Le ministère de la Santé a cependant demandé aux préfectures de Chiba et Ibaraki, à l'est de Tokyo, d'intensifier leurs contrôles sur les poissons et mollusques pêchés le long des côtes.
Des taux d'iode 131 et de césium 134, respectivement 126,7 fois et 24,8 fois plus élevés que les normes fixées par le gouvernement, ont été mesurés lundi dans l'eau de mer près de Fukushima, à 250 km au nord de la mégapole de Tokyo et de ses 35 millions d'habitations.
La teneur de césium 137 était également 16,5 fois plus élevée que la normale, a indiqué la firme Tokyo Electric Power (Tepco), assurant que ces niveaux de radioactivité ne constituaient pas une menace pour la santé humaine.
L'Agence des pêches a relevé de son côté que les pêcheurs n'avaient pas pu encore reprendre le travail, onze jours après que les bateaux et les ports ont été dévastés par l'énorme tsunami déclenché par le séisme de magnitude 9.
Cette double catastrophe, la pire épreuve traversée par le Japon depuis la deuxième guerre mondiale, a fait près de 23.000 morts et disparus, dont 9.199 décès confirmés, selon un nouveau bilan toujours provisoire établi mardi soir par la Police nationale.
Par ailleurs, dans le but d'éviter de nouveaux rejets radioactifs, les travaux se poursuivaient mardi pour tenter de réactiver les systèmes de refroidissement des réacteurs.
Ces efforts qui s'éternisent depuis les premiers incidents survenus le 12 mars, au péril de la santé des pompiers et des techniciens exposés à de forts rayonnements ionisants, ont été entravés lundi après-midi par le dégagement de fumées inquiétantes s'échappant du réacteur 3.
Une élévation de température a aussi été constatée dans la piscine de désactivation du réacteur 2, se matérialisant par un panache de vapeur blanche.
Les enceintes de confinement des réacteurs de la centrale ne sont pas gravement endommagées, malgré la poursuite des rejets radioactifs, a indiqué mardi l'AIEA.
"Nous avons suffisamment d'informations pour déterminer qu'il n'y a pas de grands trous ou des rejets excessifs de ces enceintes de confinement. Mais nous voyons toujours des radiations provenir de ce site", a expliqué James Lyons, directeur de la sûreté des installations nucléaires à l'Agence internationale pour l'énergie atomique, dont le siège est à Vienne.
La centrale de Fukushima Daiichi (N°1) a été gravement endommagée par la secousse tellurique suivie d'une énorme vague de 14 mètres de haut. Tepco estimait jusqu'à présent que le tsunami venu de l'Océan Pacifique était de 10 mètres.
Mais le rétablissement des systèmes de refroidissement des réacteurs, essentiel pour éviter une fusion du combustible nucléaire, prend plus de temps que prévu.
En attendant, les techniciens ont commencé à utiliser un camion allemand équipé d'une pompe à béton articulée pour verser de l'eau par dessus le toit endommagé du réacteur 4.
Un autre engin, doté d'un immense bras articulé, était en route mardi de Chine vers le Japon, où il devrait être déployé à Fukushima pour arroser les installations.
Ce véhicule est normalement utilisé pour couler du béton sur des chantiers de bâtiments élevés. Il peut atteindre une hauteur de 62 mètres, selon son constructeur, le groupe chinois Sany, spécialisé dans la machinerie lourde de chantier.
Le réacteur 3, qui a subi les plus lourds dégâts, est celui des six du site qui inquiète le plus les autorités.
Toutefois, en fin de journée, l'électricité a été partiellement rétablie dans la salle de contrôle de cette unité, ce qui devrait permettre de relancer progressivement certaines fonctions, la plus importante étant l'alimentation en eau de la piscine et de la cuve où se trouve du combustible radioactif.
Les réacteurs eux-mêmes ne seront jamais remis en service, mais leur combustible doit impérativement être refroidi et désactivé.
Un vice-président de la compagnie Tepco a présenté mardi ses excuses à la population forcée d'évacuer les environs du site.
"Notre entreprise a provoqué de l'anxiété et des nuisances aux habitants des environs des centrales, à ceux de la préfecture de Fukushima et du pays dans son ensemble", a déclaré Norio Tsuzumi, en s'inclinant profondément comme l'exige la tradition au Japon.
Malgré les incertitudes continuant de peser sur la centrale de Fukushima, les petits pas dans le bon sens effectués ces dernières heures ont été salués à la Bourse de Tokyo où l'indice Nikkei des 225 valeurs vedettes a bondi en clôture de 4,36%, les investisseurs se ruant sur les bonnes affaires après le plongeon de la semaine dernière.
Mais la machine industrielle restait détraquée, en raison de la désorganisation occasionnée par les dégâts directs sur les sites de production, de la rupture de la chaîne logistique, du rationnement d'essence et de la nécessité de minimiser la consommation électrique.
Les constructeurs automobiles nippons Toyota et Honda ont annoncé mardi qu'ils différaient le redémarrage de leurs chaînes d'assemblage au Japon en raison d'une pénurie de pièces détachées, tandis que le géant de l'électronique Sony a suspendu le travail dans plusieurs usines de l'archipel pour des raisons similaires.
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Petit point sur le week-end :
le ministère nippon de la Santé a indiqué dimanche que le niveau de radioactivité dépassait les limites de sécurité dans la région de Fukushima et d'Ibaraki. La contamination de certains aliments, bien au-delà de la zone d'évacuation autour de la centrale, a elle aussi été signalée.
Mais la menace de radioactivité inquiète au-delà du domaine alimentaire. "Les personnes qui étaient présentes au moment où le panache radioactif s’est propagé ont forcément été contaminées, plus ou moins fortement, et notamment par inhalation de ces particules. Pour contourner cette menace, aucun colis alimentaire à destination de la France n’est parti du Japon depuis le 11 mars, selon le ministère de l’Agriculture. Et les contrôles aux douanes ont été renforcés.
Dimanche 20 mars 2011 - Le gouvernement japonais a annoncé dimanche que la centrale de Fukushima ne serait plus jamais utilisée. Si cette décision politique était entérinée par l'opérateur privé Tokyo Electric Power (Tepco), Fukushima deviendrait la plus grande ruine nucléaire du monde, devant Tchernobyl qui ne comptait que quatre réacteurs achevés au moment de l'accident en 1986.
Avant d'être laissée à l'abandon, la centrale de Fukushima 1 doit cependant être remise sous contrôle, le combustible nucléaire qu'elle enferme menaçant d'entrer en fusion et de laisser s'échapper d'importants rejets radioactifs.
Les équipes techniques s'activent depuis des jours pour tenter de relancer les systèmes de refroidissement, hors-service depuis que le tsunami les a privés de courant. Une nouvelle ligne électrique a été tirée jusqu'au réacteur 2, mais de nombreuses vérifications sont nécessaires avant de relancer un à un les équipements.
L'opération "va prendre plus de temps. Nous ne savons pas quand nous pourrons essayer de rétablir les systèmes", a déclaré Naohiro Omura, le porte-parole de Tepco.
En attendant, les sauveteurs multiplient les opérations de refroidissement au canon à eau, intensifiées depuis samedi notamment au pied du réacteur 3, de loin le plus inquiétant, car très endommagé par une explosion et chargé en combustible MOX, un mélange d'oxydes d'uranium et de plutonium dont les rejets sont particulièrement nocifs.
Lundi 21 mars 2011 - A 15H55 (heure japonaise), nous avons reçu un rapport de la centrale indiquant qu'une fumée grise s'échappait du toit du réacteur 3. Nous avons ordonné l'évacuation des ouvriers qui se trouvaient à proximité", a déclaré un responsable de Tepco.
Le réacteur 3 a subi les plus lourds dégâts après le séisme et le tsunami du 11 mars: le toit du bâtiment supérieur a été entièrement détruit par une forte explosion la semaine dernière en raison d'une accumulation d'hydrogène consécutive à des opérations de dépressurisation.
Le Premier ministre Naoto Kan a déclaré lundi que les efforts entrepris pour stabiliser la situation de la centrale permettaient de progresser, lentement mais de façon régulière.
Les six réacteurs ont ainsi été connectés à l'alimentation électrique, mais les équipements doivent être testés par les techniciens avant d'être alimentés, pour éviter un court-circuit. Selon la télévision publique NHK, ces vérifications pourraient encore prendre deux à trois jours.
Le système de refroidissement du seul réacteur 5, à l'arrêt pour maintenance lors du séisme et qui n'a pas subi d'explosion, fonctionnait normalement lundi.
"Il est possible que certains équipements puissent fonctionner aujourd'hui, comme par exemple le système de climatisation et de ventilation", a-t-il expliqué.
La population restait néanmoins en alerte, notamment les 35 millions d'habitants de la région de Tokyo qui craignaient que le vent du nord soufflant sur la centrale ne charie des substances radioactives jusque dans la capitale, 250 km au sud-ouest.
Le gouvernement tente de rassurer la population, en répétant que le niveau de radioactivité présent dans la pluie, l'eau du robinet, ou dans certains aliments autour des réacteurs endommagés par le séisme et le tsunami ne menace pas la santé.
Sur la côte Pacifique du nord-est, dévastée par un énorme séisme de magnitude 9 et par un tsunami de plusieurs mètres de haut, les sauveteurs poursuivaient leurs efforts, malgré des pluies en matinée, pour tenter de retrouver des survivants, bien que les espoirs soient quasiment nuls dix jours après la catastrophe.
Le bilan, toujours provisoire, approchait les 22.000 morts et disparus, dont 8.649 décès confirmés par la police.
Le mauvais temps a aussi contraint M. Kan à renoncer à une visite dans la ville meurtrie d'Ishinomaki, où ont été miraculeusement retrouvés dimanche une femme de 80 ans et son petit-fils de 16 ans, après neuf jours passés sous les décombres de leur cuisine à se nourrir de yaourts, de gâteaux, d'eau et de sodas.
En attendant la remise en service des équipements de la centrale, les soldats et les pompiers continuaient d'asperger les réacteurs au canon à eau, afin de refroidir le combustible et éviter le rejet de quantités importantes de radioactivité dans l'atmosphère.
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vendredi, 18 mars 2011 23:52
Risque nucléaire : Pas d'aggravation significative [MAJ - 22h52]
Asia-tik.com
MAJ 18/03/11 - 22h52
La situation à la centrale de Fukushima 1 paraît "relativement stable"
comparé à mercredi, "ce qui est positif" mais La situation reste très
sérieuse , déclare un expert de l'Agence
internationale de l'énergie atomique (AIEA).
Des hélicoptères et des camions citernes ont tenté de refroidir les
réacteurs les plus endommagés de la centrale de Fukushima, en y
déversant des tonnes d'eau de mer.
Des mesures partielles réalisées par un laboratoire japonais sur la
radioactivité donnent des "résultats inquiétants" dans la capitale,
s'est alarmée la Commission de Recherche et d'Information indépendantes
sur la Radioactivité (Criirad), une association française. Elle note
notamment que "que le niveau de radioactivité de l'air a très fortement
augmenté sur Tokyo le 15 mars, entre 10H00 et 12H00, avec un pic
de radioactivité sur les poussières prélevées à 11H00". A ce moment,
l'activité du césium 137 aurait atteint 60 Bq/m3, "soit plus de 10
millions de fois le niveau antérieur aux accidents nucléaires".
MAJ 18/03/11 - 14h09
Le Premier ministre Naoto Kan vient de tenter de rassurer la population lors d'un discours TV. "Le Japon s'est reconstruit miraculeusement après la guerre. Avec la force de tous, nous allons une nouvelle fois reconstruire le pays. Le pays va "surmonter cette tragédie et se reconstruire en tant que nation. Le gouvernement va redonner confiance à la population".
La centrale de Fukushima fait toujours face à "d'énormes difficultés". Mais l'Etat va "prendre fermement" le contrôle de la situation.
MAJ 18/03/11 - 11h33
En milieu de matinée les opérations visant à refroidir le combustible nucléaire du réacteur 3 de la centrale de Fukushima ont repris à l'aide de camions citernes équipés de canon à eau. Au moins sept véhicules des Forces d'autodéfense, nom officiel de l'armée nippone, vont se relayer pour déverser des dizaines de tonnes d'eau et empêcher les barres de combustible d'entrer en fusion.
L'Agence de sûreté nucléaire japonaise a relevé le niveau de l'accident nucléaire de Fukushima de 4 à 5 sur l'échelle des événements nucléaires et radiologiques. Le 4 est un "accident" avec "rejet mineur" de matière radioactive, et un endommagement "important" du coeur du réacteur, avec exposition mortelle d'un travailleur. Le 5 est un accident avec rejet "limité" et un endommagement "grave" du réacteur.
L'alimentation électrique de la centrale nucléaire, qui permettrait de remettre en route le système de pompage et de refroidir les piscines d'entreposage du combustible usé, n'est toujours pas rétabli, selon le gouvernement japonais. Il fait état de "progrès" en ce sens
18/03/11 - 09h16
Pour la première fois depuis le début de la crise, les experts ont noté jeudi une évolution encourageante à la centrale de Fukushima, dont quatre des six réacteurs ont été gravement endommagés par des explosions et des incendies.
Le conseiller spécial du directeur général de l'AIEA a déclaré que : "La situation reste très sérieuse à la centrale. Mais il n'y a pas eu d'aggravation significative depuis hier". Cependant les autorités japonaises n'ont fait aucun commentaire sur l'évolution de la situation, se contentant d'énumérer les opérations lancées pour prévenir des rejets de radioactivité de grande ampleur.
Pour l'instant la priorité est d'apporter de l'eau en quantité suffisante afin de refroidir les installations, en particulier les réacteurs 1, 2 et 3 ainsi que les piscines de stockage du combustible usé des réacteurs 3 et 4. Mais la priorité de l'exploitant TEPCO est de rétablir l'alimentation en électricité de la centrale afin "de remettre en route les pompes refroidissant les réacteurs et de remplir les piscines". La ligne provisoire annoncée il y a quelques heures pourrait être terminé aujourd'hui.
Ce matin les japonais ont observé une minute de silence en mémoire des victimes de la catastrophe s'étant déroulée il y a une semaine.
Plus d'informations sur le site de l'ambassade japonaise : www.ambafrance-jp.org ou si vous souhaitez suivre l'actualité en direct le site de la chaine TBS assure un suivi de la situation à cette adresse : http://news.tbs.co.jp/
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MAJ 17/03/11 - 19h54
Des mesures partielles réalisées par un laboratoire japonais sur la
radioactivité donnent des "résultats inquiétants" dans la capitale,
s'est alarmée la Commission de Recherche et d'Information indépendantes
sur la Radioactivité (Criirad), une association française. Elle note
notamment que "que le niveau de radioactivité de l'air a très fortement
augmenté sur Tokyo le (mardi) 15 mars, entre 10H00 et 12H00, avec un pic
de radioactivité sur les poussières prélevées à 11H00". A ce moment,
l'activité du césium 137 aurait atteint 60 Bq/m3, "soit plus de 10
millions de fois le niveau antérieur aux accidents nucléaires".
Cpendant a situation à la centrale de Fukushima 1 paraît "relativement stable"
comparé à mercredi, "ce qui est positif", déclare un expert de l'Agence
internationale de l'énergie atomique (AIEA). "La situation reste très
sérieuse (...) Mais il n'y a pas eu d'aggravation significative depuis
hier"
MAJ 17/03/11 - 15h15
Une nouvelle réplique peu importante a été ressentie vers 12h58 GMT à Tokyo ainsi qu'à Ichinoseki dans le Nord-Est du pays.
Tandis que pour sur le site de la centrale pour la première fois, quatre hélicoptères de l'armée japonaise ont déversé plusieurs tonnes d'eau de mer sur les réacteurs les plus endommagés, principalement le 3. Cinq camions citernes spéciaux de l'armée sont également entrés en action.
Les groupes Areva et EDF ont affrété l'avion transportant 100 tonnes d'acide borique, une substance empêchant la réaction nucléaire, et du matériel de protection contre la radioactivité.
MAJ 17/03/11 - 13h08
Impossible d'utiliser le canon a eau, les autorités japonaises n'ont pas pu recourir comme prévu à l'utilisation d'un camion citerne équipé d'un canon à eau pour arroser un des réacteurs de Fukushima en raison du niveau élevé des radiations. Après cette tentative avortée du canon à eau de la police, deux camions spéciaux de l'armée ont commencé à arroser le réacteur 3 de la centrale de Fukushima. A la différence des camions de la police, ces véhicules peuvent bombarder d'eau une cible sans que les soldats soient obligés de sortir de la cabine.
MAJ 17/03/11 - 11h51
Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant annonce que la France est "prête à accueillir" des Japonais qui auraient besoin de recevoir des soins après avoir été irradiés. Paris a de nouveau proposé au Japon son "offre de coopération massive" en matière nucléaire. Son ambassadeur Philippe Faure explique que la France propose d'envoyer des moyens techniques (pompes, camions-citernes, camions anti-incendie), des engins robotisés commandés à distance par des techniciens, ainsi qu'une aide à la radioprotection (masques à cartouche, moyens de détection, moyens d'analyse).
MAJ 17/03/11 - 09h40
Le ministre de l'Industrie, Banri Kaieda annonce qu'une partie du Japon risque une coupure d'électricité à grande échelle si la consommation n'est pas réduite, la production étant amoindrie du fait des dégâts causés aux centrales nucléaires par le séisme.
Un premier avion Français transportant du matériel et 95 tonnes de bore, un agent chimique permettant de retarder le processus de fusion nucléaire qui menace des réacteurs de la centrale de Fukushima, va partir ce matin.
17/03/11 - 08h38
Les autorités japonaises font face à une situation grave sur le site nucléaire de Fukushima. Malgré l’éloignement, un accroissement des niveaux de radioactivité a déjà été constaté au niveau de l’agglomération de Tokyo, et reste attendu dans les prochaines heures en fonction de l’évolution de la météorologie (direction des vents dominants et chutes de pluie). Ces niveaux resteront probablement faibles, mais pourraient s’amplifier ultérieurement en fonction de l’évolution des réacteurs accidentés, avec un décalage de l’ordre de 20 à 30 heures compte tenu des conditions météorologiques actuelles.
Plus d'informations sur le site de l'ambassade japonaise : www.ambafrance-jp.org ou si vous souhaitez suivre l'actualité en direct le site de la chaine TBS assure un suivi de la situation à cette adresse : http://news.tbs.co.jp/
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MAJ 16/03/11 - 21h07
Selon le bilan officiel, le séisme et le tsunami ont fait 4.314 morts confirmés. La police nationale recense aussi 8.606 disparus
et 2.282 blessés. Les autorités s'attendent à ce que le bilan final
dépasse nettement les 10.000 morts. Vers 18h00 les employés travaillent toujours sur le site de la centrale et subissent "des conditions
extrêmes d'intervention" en raison "des retombées radioactives
extrêmement fortes", selon le président de l'Autorité de sûreté
nucléaire française (ASN). A 19h30, un responsable nucleaire americain annonceque les radiations sont "extremement fortes" au réacteur 4 La piscine de stockage ne contient plus d'eau, d'où le niveau des radiations. A 20h00 L'équipe de la Sécurité civile française envoyée pour aider aux
opérations de secours au Japon a quitté la ville de Sendaï pour se
replier 350 km au nord, à cause notamment de "la situation nucléaire et
radiologique actuelle". Le ministère de l'Intérieur invoque une "mesure
de précaution"...
MAJ 16/03/11 - 14h13
Les autorités envisagent désormais d'utiliser un camion-citerne avec canon à eau pour arroser le réacteur 4. Un engin spécial de la police de Tokyo sera dépêché sur le site ce soir pour ce recours technique inédit. Le porte-parole du gouvernement, Yukio Edano, demande "un transport efficace des vivres" jusqu'aux réfugiés.
"Il y a 500 refuges où sont installés 100.000 personnes. Elles ont absolument besoin d'avoir de combustible pour se chauffer mais les vivres, les produits de première nécessité et le carburant n'arrivent pas", souligne Yuhei Sato, le gouverneur de Fukushima. Concernant cette aide, des secouristes britanniques ont été contraints de faire demi-tour faute d'avoir obtenu les autorisations nécessaires de la part de l'ambassade britannique à Tokyo.
Beaucoup d'usines, de bureaux et de commerce restent fermés aujourd'hui. Sony a d'ailleurs demandé aux employés de son siège tokyoïte de ne pas venir travailler. En ce qui concerne les transports des trains régionaux reste perturbée, malgré une légère amélioration. Les métros de Tokyo continuent de circuler au rythme emprunté d'habitude le week-end.
MAJ 16/03/11 - 10h50
L'hélicopter devant remplir le bassin d'eau au niveau du réacteur 4 ne peut pas survoler le site à cause de la radioactivité trop importante. De source officielle, il a été annoncé que la radioactivité au delà des 20 km de Fukushima ne posent pas de danger immédiat pour la santé.
MAJ 16/03/11 - 09h13
Le Premier Ministre Français vient d'annoncer pour faciliter le retour en France de ceux qui le souhaitent, que deux appareils sont en route vers le Japon. En fonction du nombre de personnes intéressées, les appareils rejoindront la France directement ou via des rotations par Séoul.
Les premiers décollages sont prévus dès demain, jeudi 17 mars. Les Français intéressés sont donc invités à se signaler dans les meilleurs délais à l’adresse suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.. Il faudra préciser dans ce courriel leur adresse e-mail, la composition de la famille (nom, prénom, date de naissance, numéros de passeport) ainsi que l’aéroport préférentiel de départ (Tokyo ou Osaka – la décision sera prise en fonction du nombre de demandes).
16/03/11 - 08h48
Une nouvelle secousse de magnétude 6 a eu lieu à l'Est de Tokyo. Concernant la centrale, le feu ayant démarré au niveau du réacteur 4 fut stoppé en 30 minutes. Les employés de la centrale ne travaillent actuellement plus sur le site, cela ne serait que temporaire. Le bassin de confinement du réacteur 2 semble mal fonctionner, actuellement un helicopter va survoler le site avec de l'eau afin de remplir le bassin.
Plus d'informations sur le site de l'ambassade japonaise : www.ambafrance-jp.org ou si vous souhaitez suivre l'actualité en direct le site de la chaine TBS assure un suivi de la situation à cette adresse : http://news.tbs.co.jp/
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