Les « Yamamoto Mimi Kaki-ten's » doivent seulement entretenir les oreilles de leurs clients, le travail est exécuté par des jeunes femmes sexy se mettant à genoux sur le plancher vêtues d’un yukata.
Chaque session de nettoyage dure 30 minutes et coûte 2,500 yens (environ 16 euros).
Shukan Asahi(un celebre magazine Japonais) cite la brochure promotionnelle de la société « Les Yamamoto Mimi Kaki-ten's des jeunes filles offrant des services du passé »
Un des salariés dit « Nous ne pensions pas avoir un tel succès, de plus nous avons plus de clients du genre employés ordinaires que d’Otaku. Il ne faut pas croire que c’est un travail facile car les filles doivent s'agenouiller sur des sols relativement dur et cela toute la journée. »
Akihabara est récemment devenu saturé par ce genre de service type "Maid". Ceux ou avec un yen vous pouvez avoir des massages de pied, ou bien alors retrouver des salons de coiffures avec des Maids ou des services d’accompagnement avec une jeune fille qui vous suivra pendant toute une après-midi déguisée elle aussi en Maid.
On pourrait croire que les Yamamoto Mimi Kiki-ten est une extension des services de Maid qui a connu un boom soudain de ces services à thème; comme ceux portant des kimono ressemblant aux serveuses des années 20, ou des femmes qui portant des oreilles de chat. Dans la même immeuble que les kaki-ten’s, il existe un autre magasin rassemblant un personnel entièrement féminin habillé comme des hommes, faisant tout pour ressembler aux hommes efféminés réalisé par la fameuse revue de travesti, la revue Takarasuka .
L'économiste Takuro Morinaga explique sont point de vue sur tout cela :
"Les Maids cafés à l'origine sont apparus suite à des jeux de rôle où un personnage d'employée de maison s'occupe de client les appelants 'maître' (une pratique commune parmi les Maids cafés). Les Maids sont devenues des objets de phantasme des Otakus," Morinaga raconte que "Maintenant que l'affaire des Maids s'est fermement implantés, les attentions vont être tournées vers l'utilisation des Maids pour prendre l’argent des touristes.