En France :
Tome 1 le 12/10/2011
Tome 2 le 11/01/2012
Au Japon :
Série terminée : 2 tomes
Site de l'éditeur : www.soleilmanga.com
Victime du mauvais contexte économique, Tamako se retrouve embauchée dans une agence de nettoyage : Smile Maid !
Le seul problème, c’est qu’elle risque le renvoi si elle fricote avec les clients de la boîte, et justement le fils de la maison dont elle est en charge ne lui laisse pas de répit. Bien que Uehara Yû ne soit encore qu’un lycéen préparant ses examens, Tamako ne peut s’empêcher d’avoir le cœur qui bat à son contact…
Rares sont les séries sur les femmes aimant un homme plus jeune, mais elles commencent à devenir plus fréquente et de ce fait révèle une certaine évolution des mœurs et une volonté de briser le tabou qui entoure ces relations (tandis que la différence d’âge est mieux toléré si l’homme est le plus âgé).
Mais bon ici la différence d’âge n’est pas énorme puisque le jeune homme a dix-huit ans et l’héroïne vingt-deux… Rappelons toutefois qu’au Japon la majorité est à vingt-et-un ans, ce qui fait qu’elle est majeure et lui mineur.
Toutefois, difficile de prendre au sérieux ses doutes par rapport à cette différence de trois ou quatre ans (trois ans au début, devenus quatre quand Tamako fête son vingt-deuxième anniversaire… une manière de compter un peu particulière donc…) car Tamako n’est pas si adulte que ça d’une part, et d’autre part elle se fait des réflexions qui sembleraient plus justes avec une dizaine d’années d’écart.
Du coup, la série est très classique que début à la fin. Notons qu’à la base, il devait s’agir d’une nouvelle (le premier chapitre) et que le développement en série s’est fait suite à la demande des lecteurs et de l’éditeur. Du coup le premier tome est un peu un tome d’exploration, à la recherche d’une trame narrative suivie. La mangaka axe ses nouveaux épisodes sur les fêtes de fin d’année et la Saint Valentin, grands classiques des histoires d’amour dans les mangas. Au début ces épisodes semblent partis pour ne pas être liés, mais au milieu du chapitre central, elle introduit le personnage d’Etô, trouble-fête du petit couple bien décidé à les tourmenter… Le classique troisième larron du triangle amoureux donc !
Dans le tome 2, on se tourne vers l’avenir et on a l’impression que les personnages mûrissent, mais le final nous prouve qu’ils sont bien restés les mêmes… Mais après tout en moins d’un an, ça n’a rien de si surprenant.
En bonus dans le second tome, vous trouverez des strips quatre cases dédiés au personnage d’Etô. Il s’agit de petits hors-séries qui font écho à ses déboires sentimentaux dans la série. Et pour finir, vous pourrez découvrir le premier récit classé josei de l’auteur, « 1ère erreur », qui nous entraîne dans un bureau de graphistes et met en scène les rapports conflictuels de deux accros au travail. Cette nouvelle est bien faite et permet de terminer ces deux tomes sur une note très sympathique.
Mais bon ici la différence d’âge n’est pas énorme puisque le jeune homme a dix-huit ans et l’héroïne vingt-deux… Rappelons toutefois qu’au Japon la majorité est à vingt-et-un ans, ce qui fait qu’elle est majeure et lui mineur.
Toutefois, difficile de prendre au sérieux ses doutes par rapport à cette différence de trois ou quatre ans (trois ans au début, devenus quatre quand Tamako fête son vingt-deuxième anniversaire… une manière de compter un peu particulière donc…) car Tamako n’est pas si adulte que ça d’une part, et d’autre part elle se fait des réflexions qui sembleraient plus justes avec une dizaine d’années d’écart.
Du coup, la série est très classique que début à la fin. Notons qu’à la base, il devait s’agir d’une nouvelle (le premier chapitre) et que le développement en série s’est fait suite à la demande des lecteurs et de l’éditeur. Du coup le premier tome est un peu un tome d’exploration, à la recherche d’une trame narrative suivie. La mangaka axe ses nouveaux épisodes sur les fêtes de fin d’année et la Saint Valentin, grands classiques des histoires d’amour dans les mangas. Au début ces épisodes semblent partis pour ne pas être liés, mais au milieu du chapitre central, elle introduit le personnage d’Etô, trouble-fête du petit couple bien décidé à les tourmenter… Le classique troisième larron du triangle amoureux donc !
Dans le tome 2, on se tourne vers l’avenir et on a l’impression que les personnages mûrissent, mais le final nous prouve qu’ils sont bien restés les mêmes… Mais après tout en moins d’un an, ça n’a rien de si surprenant.
En bonus dans le second tome, vous trouverez des strips quatre cases dédiés au personnage d’Etô. Il s’agit de petits hors-séries qui font écho à ses déboires sentimentaux dans la série. Et pour finir, vous pourrez découvrir le premier récit classé josei de l’auteur, « 1ère erreur », qui nous entraîne dans un bureau de graphistes et met en scène les rapports conflictuels de deux accros au travail. Cette nouvelle est bien faite et permet de terminer ces deux tomes sur une note très sympathique.
Remerciements aux éditions SOLEIL MANGA pour nous avoir fourni ces tomes
KOI O SURU MADE KAESANAI © 2010 Aya ODA / Shogakukan Inc.
KOI O SURU MADE KAESANAI © 2010 Aya ODA / Shogakukan Inc.