Site de l’éditeur : http://www.ilyfunet.com/
L’auteur :
Etienne Barral, journaliste, consultant et producteur, vit au Japon depuis 1986. Au fil des années, il a travaillé pour Le Nouvel Observateur, Enjeux-les Echos, Asahi Shimbun, AERA et la NHK. Il dirige actuellement System B, une société de conseil en tendances basée à Tôkyô. Récemment, il s’est lancé dans l’édition en co-dirigeant Isan Manga.
Le livre :
La Dernière Goutte de Saké est une compilation de chroniques sur le Japon d’aujourd’hui, parues originalement pour le magazine OVNI. L’auteur a souhaité y décrire certains aspects de la vie au Japon, au rythme des mois et des saisons.
Le titre de l’ouvrage est une référence humble et assumée à « La dernière gorgée de bière » de Delerm et à l’instar de cet ouvrage, « La Dernière Goutte de saké » nous propose de nous concentrer sur de petits plaisirs, bien nippons.
Ce livre est donc la compilation de chroniques rédigées par Etienne Barral pendant une année. La première partie est consacrée à la vie quotidienne au Japon ; puis ce sont des événements saisonniers qui sont présentés, avant un passage original sur les chiens, avec un canin comme narrateur, autre hommage assumé à un auteur nippon cette foit, Natsume Sôseki, qui était lui un chat. Les deux dernières parties de l’ouvrage sont dédiées à la ville d’une part et à la précarité d’autre part.
Vous l’aurez peut-être compris avec cette division, l’auteur s’attache à décrire la vie au Japon de nos jours sans fard et dans ses aspects les plus anodins. Le lecteur en apprendra autant sur des sujets assez connus comme hanami que sur les services de livraisons qui ont inspiré à Miyazaki sa petite sorcière ou la vie des chiens au Japon.
Pour le lecteur, « La Dernière goutte de saké » est une petite mine d’information sur le Japon d’aujourd’hui. Les mangavores y reconnaîtront des événements comme la Saint Valentin et le White Day, Hanami, la fête du sport des écoles et bien d’autres, et pourront en apprendre un peu plus sur l’origine de ces traditions et la réalité des événements. Mais les thèmes choisis sont bien sûr variés et on en apprend beaucoup sur des aspects souvent méconnus de la société nippone. Le plus de ce livre, c’est le ton mêlant légèreté et sérieux de l’auteur.
C’est sans prétention qu’Etienne Barral nous fait partager son expérience du Japon d’aujourd’hui, avec humilité et humour. Chaque chronique se lit rapidement, tient souvent sur 4 ou 5 pages mais reste très complète et documentée. Bref, un bon équilibre est trouvé entre l’aspect informatif et l’aspect plaisir. Car les mêmes faits donnés brut auraient vite été rébarbatifs ; mais le journaliste ajoute une touche de vécu, une pointe d’humour et du coup le tout fonctionne à merveille.
Petits bonus appréciables, les articles sont illustrés avec brio par Pierre Ferragut, ce qui apporte au livre un aspect visuel agréable et peut-être encore plus de légèreté car les illustrations sont autant d’invitations à l’évasion et de bouffée d’air dans un livre déjà bien aéré. Loin des pompeux récits de voyages et autres récits de vie égocentrés, cette dernière goutte de saké se boit avec délectation et ne reste pas sur l’estomac.
Lors de sa sortie, vous aviez peut-être été intrigués par la couverture et le titre de ce récit. On dit souvent qu’il ne faut pas juger un livre à sa couverture, et en effet cela serait réducteur, mais ici se laisser séduire par la couverture ne serait en rien une erreur !
Etienne Barral, journaliste, consultant et producteur, vit au Japon depuis 1986. Au fil des années, il a travaillé pour Le Nouvel Observateur, Enjeux-les Echos, Asahi Shimbun, AERA et la NHK. Il dirige actuellement System B, une société de conseil en tendances basée à Tôkyô. Récemment, il s’est lancé dans l’édition en co-dirigeant Isan Manga.
Le livre :
La Dernière Goutte de Saké est une compilation de chroniques sur le Japon d’aujourd’hui, parues originalement pour le magazine OVNI. L’auteur a souhaité y décrire certains aspects de la vie au Japon, au rythme des mois et des saisons.
Le titre de l’ouvrage est une référence humble et assumée à « La dernière gorgée de bière » de Delerm et à l’instar de cet ouvrage, « La Dernière Goutte de saké » nous propose de nous concentrer sur de petits plaisirs, bien nippons.
Ce livre est donc la compilation de chroniques rédigées par Etienne Barral pendant une année. La première partie est consacrée à la vie quotidienne au Japon ; puis ce sont des événements saisonniers qui sont présentés, avant un passage original sur les chiens, avec un canin comme narrateur, autre hommage assumé à un auteur nippon cette foit, Natsume Sôseki, qui était lui un chat. Les deux dernières parties de l’ouvrage sont dédiées à la ville d’une part et à la précarité d’autre part.
Vous l’aurez peut-être compris avec cette division, l’auteur s’attache à décrire la vie au Japon de nos jours sans fard et dans ses aspects les plus anodins. Le lecteur en apprendra autant sur des sujets assez connus comme hanami que sur les services de livraisons qui ont inspiré à Miyazaki sa petite sorcière ou la vie des chiens au Japon.
Pour le lecteur, « La Dernière goutte de saké » est une petite mine d’information sur le Japon d’aujourd’hui. Les mangavores y reconnaîtront des événements comme la Saint Valentin et le White Day, Hanami, la fête du sport des écoles et bien d’autres, et pourront en apprendre un peu plus sur l’origine de ces traditions et la réalité des événements. Mais les thèmes choisis sont bien sûr variés et on en apprend beaucoup sur des aspects souvent méconnus de la société nippone. Le plus de ce livre, c’est le ton mêlant légèreté et sérieux de l’auteur.
C’est sans prétention qu’Etienne Barral nous fait partager son expérience du Japon d’aujourd’hui, avec humilité et humour. Chaque chronique se lit rapidement, tient souvent sur 4 ou 5 pages mais reste très complète et documentée. Bref, un bon équilibre est trouvé entre l’aspect informatif et l’aspect plaisir. Car les mêmes faits donnés brut auraient vite été rébarbatifs ; mais le journaliste ajoute une touche de vécu, une pointe d’humour et du coup le tout fonctionne à merveille.
Petits bonus appréciables, les articles sont illustrés avec brio par Pierre Ferragut, ce qui apporte au livre un aspect visuel agréable et peut-être encore plus de légèreté car les illustrations sont autant d’invitations à l’évasion et de bouffée d’air dans un livre déjà bien aéré. Loin des pompeux récits de voyages et autres récits de vie égocentrés, cette dernière goutte de saké se boit avec délectation et ne reste pas sur l’estomac.
Lors de sa sortie, vous aviez peut-être été intrigués par la couverture et le titre de ce récit. On dit souvent qu’il ne faut pas juger un livre à sa couverture, et en effet cela serait réducteur, mais ici se laisser séduire par la couverture ne serait en rien une erreur !