Avec Poison City, l’auteur a choisi de s’intéresser à une thématique bien particulière : celle de la liberté d’expression. Un sujet qui lui tient particulièrement à cœur, puisque le mangaka subit actuellement une censure de son polar Manhole dans le département de Nagasaki au Japon, décision contre laquelle il a engagé une procédure judiciaire. Dans Poison City, Tetsuya TSUTSUI nous dévoile les coulisses et l’absurdité du système de censure japonais, et les nombreuses pressions extérieures qu’un auteur peut subir tout au long du processus de création.
Le premier tome de cette nouvelle création originale 100 % Ki-oon sortira en France le 12 mars dans un format manga classique, mais vous sera aussi proposé simultanément dans la collection Latitudes en grand format et hardcover, afin de vous faire profiter encore plus du travail de l’auteur !
Poison City - sortie du tome 1 le 12 mars
( série en 2 tomes, 242 pages, 7,90 € - format Latitudes : 15 €)
Tokyo, 2019. À moins d’un an de l’ouverture des Jeux olympiques, le Japon est bien décidé à faire place nette afin de recevoir les athlètes du monde entier. Une vague de puritanisme exacerbé s’abat sur tout le pays, cristallisée par la multiplication de mouvements autoproclamés de vigilance citoyenne. Littérature, cinéma, jeu vidéo, bande dessinée : aucun mode d’expression n’est épargné.
C’est dans ce climat suffocant que Mikio Hibino, jeune auteur de 32 ans, se lance un peu naïvement dans la publication d’un manga d’horreur ultra-réaliste, Dark Walker. Une démarche aux conséquences funestes qui va précipiter l’auteur et son éditeur dans l’œil du cyclone...
( série en 2 tomes, 242 pages, 7,90 € - format Latitudes : 15 €)
Tokyo, 2019. À moins d’un an de l’ouverture des Jeux olympiques, le Japon est bien décidé à faire place nette afin de recevoir les athlètes du monde entier. Une vague de puritanisme exacerbé s’abat sur tout le pays, cristallisée par la multiplication de mouvements autoproclamés de vigilance citoyenne. Littérature, cinéma, jeu vidéo, bande dessinée : aucun mode d’expression n’est épargné.
C’est dans ce climat suffocant que Mikio Hibino, jeune auteur de 32 ans, se lance un peu naïvement dans la publication d’un manga d’horreur ultra-réaliste, Dark Walker. Une démarche aux conséquences funestes qui va précipiter l’auteur et son éditeur dans l’œil du cyclone...